Québec risque de perdre sa mémoire religieuse

Des spécialistes des archives religieuses se disent excédés du peu d’empressement à trouver des solutions à une crise qui prend l’allure d’une vraie catastrophe pour la connaissance de l’histoire du Québec.
Que faut-il faire pour que la société québécoise en général et ses dirigeants en particulier s’intéressent au plus vite au mauvais sort fait aux archives religieuses du Québec ? La question a hanté un après-midi des spécialistes de du sujet, réunis pour discuter de la situation à leurs yeux catastrophique.
Lisez l'article du Devoir, par Jean-François Nadeau